- faire bon marché de
- ни во что не ставить
Le dictionnaire commercial Français-Russe. - RUSSO . R. Giraud. 2002.
Le dictionnaire commercial Français-Russe. - RUSSO . R. Giraud. 2002.
Faire bon marché de quelque chose — ● Faire bon marché de quelque chose en faire peu de cas, ne pas l épargner : Faire bon marché de sa santé … Encyclopédie Universelle
Faire un bon marché — ● Faire un bon marché conclure une affaire avantageuse … Encyclopédie Universelle
Bon Marché — Le Bon Marché Le Bon Marché … Wikipédia en Français
Le Bon Marché — Façade de nuit … Wikipédia en Français
Le Bon Marche — Le Bon Marché Le Bon Marché … Wikipédia en Français
Le Bon marché — Le Bon Marché … Wikipédia en Français
marché — 1. (mar ché) s. m. 1° Vente, achat de ce qui se débite dans un lieu déterminé. Le marché n a rien valu aujourd hui. • Quand j aurai l honneur de vous faire parvenir mes rêveries, qui ne sont pas encore tout à fait prêtes, je ferai avec vous… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré
marché-gare — marché [ marʃe ] n. m. • marchiet 1080; lat. mercatus, de merx, mercis « marchandise » I ♦ 1 ♦ Convention portant sur la fourniture de marchandises, de services et de valeurs. ⇒ accord, affaire, contrat; achat, échange, vente. Conclure, passer,… … Encyclopédie Universelle
MARCHÉ — s. m. Lieu public où l on vend les choses nécessaires pour la subsistance et pour les différents besoins de la vie. Cette ville a un beau marché. On a abattu les maisons pour faire un marché. Le grand, le petit marché. Le marché au blé, aux… … Dictionnaire de l'Academie Francaise, 7eme edition (1835)
MARCHÉ — n. m. Lieu public où l’on vend les choses nécessaires pour la subsistance et pour les différents besoins de la vie. Un marché couvert. Un marché en plein air. Aller au marché. Revenir du marché. Faire ses provisions au marché. Marché franc,… … Dictionnaire de l'Academie Francaise, 8eme edition (1935)
faire — 1. (fê r) Au XVIe Siècle, d après Bèze, les Parisiens prononçaient à tort fesant au lieu de faisant ; c est cette prononciation des Parisiens, condamnée alors, qui a prévalu ; on prononce aujourd hui fe zan, fe zon, fe zê, fe zié), je fais, tu… … Dictionnaire de la Langue Française d'Émile Littré